Les Républicains présentent une loi interdisant la censure sur les médias sociaux

Les Républicains présentent une loi interdisant la censure sur les médias sociaux

De nouvelles réglementations pourraient être imposées aux grandes entreprises. Le loi proposée insiste pour que les sites Web de réseautage social donnent une justification claire lorsqu’ils le font contre les utilisateurs de leurs propres plates-formes.

Depuis que la tension sur les réseaux sociaux a augmentée, la possibilité d’une réglementation gouvernementale a également augmentée. Les républicains, et certains démocrates, ont soutenu que les entreprises doivent perdre la protection dont elles bénéfinient afin de pouvoir effacer du contenu sans être poursuivies. Selon les législateurs, la loi devrait être mise à niveau pour que les entreprises répondent à des normes spécifiques qui les pousseront à agir pour des raisons légitimes. Il est proposé qu’il doit possible d’entâmer des poursuites civiles lorsqu’un client sur un réseau social est censuré pour des messages ayant trait à la religion ou à la politique. On suggère des amendes allant jusqu’à 75 000 $ de compensation pour chaque message bloqué. Cette mesure s’appliquerait ainsi aux entreprises faisant des millions et qui font souvent des exemptions pour les messages qui impliquent de la violence, qui attirent des actions criminelles ou d’autres comportements comparables.

Twitter et Facebook, qui sont généralement critiqués pour leurs politiques, ont censuré Donald Trump sur leurs plates-formes à la suite de l’insurrection du 6 janvier au Capitole américain. Twitter l’a banni définitivement, alors qu’un panel semi-indépendant a examiné la suspension des comptes par Facebook et envisage d’y avoir accès.

Les experts affirment que les propositions législatives échoueront et que l’article 230 de la loif fédérale qui protège les grandes entreprises restera en place. Cette section de la législation nationale sur les télécommunications protège généralement les hébergeurs d’être poursuivies pour que ce que les utilisateurs placent sur leurs propres sites Web. Les législateurs des États républicains poussent les géants des réseaux sociaux à faire face à des poursuites coûteuses pour la distribution de contenu sur leurs sites, alors que cette disposition les empêche d’être pénalisés pour avoir supprimé censurer du contenu.

La défense de la responsabilité nationale est depuis longtemps un objectif de l’ancien président Donald Trump avec d’autres républicains, dont les plaintes concernant les perspectives conservatrices étouffantes de la Silicon Valley se sont produites lorsque les réseaux sociaux et hébergeurs webs ont publiés de fausses nouvelles à propos des élections de 2020. Le sénateur républicain Rob Standridge, a déclaré que les utilisateurs sur les réseaux sociaux qui avaient été injustement censurés devraient avoir un moyen de contester les activités des grands réseaux étant donné leur prépondérance au plan international. Son projet de loi a été adopté à la fin du mois de février à un vote de 5 à 3 contre les démocrates.

Twitter et Facebook ont ​​été regroupés autour de ce que les critiques ont décrit comme des suspensions de comptes lentes, alors que les partisans libéraux se plaignant qu’ils ont donné beaucoup de latitude aux conservateurs et aux groupes de haine. Antigone Davis, responsable international de la sécurité pour Facebook, a déclaré que ce type de disposition rendrait la tâche plus difficile pour réseaux sociaux  afin d’éliminer le contenu relatif aux discours de haine, à la pédopornographie et d’autres contenus préjudiciables. Les politiciens républicains dans environ deux douzaines d’états ont présenté des projets de loi qui permettraient des poursuites civiles contre les réseaux sociaux et d’obtenir gain de cause contre ce qu’ils appellent la «censure». Les démocrates, qui ont également appelé à un examen plus minutieux des nouvelles technologies, ont présenté une mesure semblable à celle des républicains dans au moins deux états.

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